Lana Del Rey fait son retour tant attendu après le populaire Born to Die avec son 2ème album intitulé Ultraviolence. Alors que la promo a été assez discrète pour cet album avec seulement le single West Coast , l'album se garnit de 11 pistes inédites et un style un peu différent.
Que dire sur Ultraviolence , si ce n'est que j'ai été énormément déçue. Alors que West Coast avait été un démarrage des plus encourageant, le reste de l'album m'a simplement laissée neutre.
Ultraviolence passe en une écoute très l e n t e m e n t, entre les mélodies qui se ressemblent, des paroles à peine compréhensibles, on dirait que Lana Del Rey a choisi une direction bien étrange avec cet album qui manque vraiment de hits et de vie.
Une fois écouté , Ultraviolence ne laisse aucun goût particulier si ce n'est peut-être un peu d'amertume.
On a l'impression d'être traîné dans un univers assez décousu et au final l'album met plutôt de la distance entre la personne qui l'écoute et sa musique car il parait bien difficile à comprendre et à écouter.
Côté paroles j'ai eu beaucoup de mal à comprendre ce que Lana blablate, surtout lorsqu'elle articule à peine,et lorsque je les comprends je n'arrive pas vraiment à y mettre du sens, cela mettant encore une barrière entre moi et l'album (comme si il n'y en avait déjà pas assez)
Honnêtement je n'ai pas trop compris ce que Lana Del Rey a essayé de produire ici ni d'où son concept sort mais appeler l'album Ultraviolence est assez paradoxal lorsque l'on se rend compte de sa lenteur et de son manque de punch.
Cet album m'a paru bien impersonnel et homogène dans son ensemble, perdant ainsi du charisme et de la qualité ce qui est bien dommage. Car il semblait pourtant bien partit mais il s'effondre dans une homogénéité des plus lassante, on s'ennuie et il semblerait que Lana aussi.
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